EU-OBP veut évaluer, développer et promouvoir une plateforme européenne commune pour les badges numériques, destinée aux organisations d'éducation et de formation des adultes, aux éducateurs et aux formateurs ainsi qu'aux apprenants. EU-OBP s'appuie sur les résultats de deux précédents projets iYOT et OBADE. Des exemples d'utilisation des badges sont analysés et diffusés et plus de 500 badges seront créés pour valoriser des acquis d'apprentissage informel développant les...

NEW VET répond à l'objectif spécifique de renforcer des réseaux de prestataires de formation aux niveaux national et régional. Il renforce les capacités européennes de ses partenaires pour échanger connaissances et expériences dans l’enseignement et la formation professionnels, et pour un meilleur transfert de pratiques entre pays (Allemagne, France, Grèce, Italie et Slovénie).  Cette mise en réseau vise à :

Vous êtes impliqués dans l'enseignement ou la formation professionnels : élève en lycée professionnel, apprenti, stagiaire de la formation professionnelle, enseignant, formateur, tuteur en entreprise.

Chaque année la Commission européenne organise la semaine des compétences professionnelles (European Vocational Skills Week). Pour cette occasion, elle recueille des témoignages "Success stories" (histoires de réussite) des différentes catégories d'acteurs :...

Nous publions 3 guides pour la mise en œuvre des badges ouverts (open badges)

Pour plus d'information et des exemples de badges, vous pouvez consulter notre site à l'adresse https://www.open-badges.eu/

L'objectif de NFIL - Valoriser les acquis d'apprentissages non formels et informels - est de faciliter la reconnaissance et la transparence des compétences et des qualifications des migrants pour accéder à des formations, à l'emploi ou évoluer professionnellement.

Les cibles sont les migrants extra et intra-communautaires y compris ceux qui souhaitent à court ou moyen terme retourner dans leur pays d'origine ainsi que les travailleurs avec un projet de...

Les réfugiés rencontrent davantage de difficultés à accéder au marché du travail que les autres groupes défavorisés. Selon les pays, il leur faut parfois plus de six ans pour rattraper leur retard en matière d'accès à l'emploi, la situation étant particulièrement difficile pour les femmes.

Les réfugiés et les nouveaux arrivants qui parlent couramment la langue du pays d'accueil disposent de plus de facilités. Mais tous les pays n'offrent pas les mêmes...